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Agacée par les rumeurs sur sa vie privée, Charlène de Monaco met les points sur les « i » avec les trublions. Aïe, ça pique !

Charlène de Monaco lance l’artillerie lourde

9 mois. C’est la durée de l’absence de Charlène de Monaco. Lorsqu’elle s’est rendue aux funérailles du roi des Zoulous, elle ne savait pas encore que son séjour serait éternel. En raison d’un problème ORL et de son état de santé, elle ne peut pas rentrer. Sans ses enfants et son mari, elle est déprimée et doit constater que les pires rumeurs se répandent à son sujet. Comme elle n’est pas en mesure de réagir à ces rumeurs, un fossé se creuse entre elle et les habitants du Rocher. Fin 2021, son retour fait parler de lui. D’une part, on ne la verra pas saluer la foule du haut de son balcon le jour de la fête nationale. D’autre part, on comprend rapidement qu’elle n’est même pas sur place. Elle est admise dans une clinique en Suisse, où elle passe quelques semaines à prendre du poids et à apaiser ses inquiétudes. Ce n’est qu’au début du printemps qu’elle retournera se baigner et qu’elle fera une grande apparition. Pensez-vous que cela suffira à apaiser les tensions ? Nous vous donnons la réponse !

Des rumeurs qui auraient pu détruire leur mariage

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Un message partagé par Palais Princier de Monaco (@palaisprincierdemonaco)

Lorsque les journalistes de Nice-Matin ont obtenu une interview de Charlène de Monaco, ils ont saisi la chance qu’ils avaient. En effet, depuis de trop nombreuses années, elle n’avait plus daigné parler à la presse. Elle n’avait probablement pas confiance dans la manière dont ils traitaient les informations. Interrogée sur son retour et sur la façon dont elle passait ses journées, celle qui fêtera son once de corail avec Albert II a répondu : « Je suis très heureuse d’être ici.  » Jotre énergie, je l’ai concentrée sur mes enfants et mon mari, car ils sont ma priorité ». Sans dévoiler le nom de sa maladie, elle fait une étrange confession.  » Mon état de santé est encore très fragile et je ne veux pas agir trop vite. Le chemin a été long, difficile et tellement douloureux ».
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Malgré le fait qu’elle se soit  » ? était plus sereine », Charlène de Monaco a entendu tout ce qui se murmurait à son sujet. Même lorsqu’elle est à des kilomètres du Rocher, l’ancienne nageuse ne mâche pas ses mots. Tous ces ragots, elle les balaie d’un revers de main. Elle est cependant très reconnaissante envers son mari. Dans la presse et sur Internet, il a régulièrement fait preuve d’ingéniosité pour  » ? protéger ». son propre peuple. A cette époque, il vivait un cauchemar éveillé. D’une part, il devait veiller à ce que Jacques et Gabriella ne manquent de rien. D’autre part, il sait pertinemment que rien ne peut remplacer l’amour et la chaleur d’une mère. Enfin, en pleine pandémie, il doit veiller à ce que le Covid ne prenne pas le dessus.

Qu’en est-il des enfants de Charlène de Monaco dans tout cela ?

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Lorsqu’un de nos confrères a osé l’interroger sur son humeur avec son cher Albet, elle a préféré utiliser une métaphore plutôt que de donner une réponse honnête.  » Comme tout le monde, nous sommes des êtres humains, nous avons des émotions, des faiblesses ». Comme sa défunte belle-mère Grace Kelly, elle se plaint que sa mère lui fasse régulièrement sa  » la famille est exposée dans les médias « . Dès qu’il y a « la moindre faiblesse »., les fauteurs de troubles s’en emparent et réduisent à néant tous ses efforts. Quelle spirale ! Comment s’en sortir sans y laisser des plumes ?

Après sa remarquable apparition lors d’un Grand Prix de Formule 1, Charlène de Monaco consacre du temps à sa puce Gabriella. Elle est très satisfaite et estime que  » ? cette sortie mode mère-fille aux Monte-Carlo Fashion Awards m’a fait très plaisir ». Un signe du destin, c’était  » la première fois  » qu’ils ont osé  » monter sur scène  » Ensemble. À l’âge de sept ans la plus jeune enfant d’Albert suscitait l’admiration de ses pairs. « Elle n’était pas du tout nerveuse, mais plutôt amusée ». A-t-elle déjà trouvé sa vocation ? L’avenir nous le dira ! Nous espérons sincèrement que cette sérénité se maintiendra le plus longtemps possible au palais. Suite dans le prochain numéro deRagemag !

Merci à nos collègues de Nice-Matin


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