Maria dolores franzyska kolowrat-krakowská, née le 22 juin 1866 à Cracovie et morte le 7 janvier 1938 à Paris, est une poétesse et dramaturge polonaise. Elle a écrit des pièces de théâtre, des poèmes, des romans et des nouvelles. Elle a également rédigé des recueils de poésie en plusieurs langues (français, allemand, anglais, italien). Nous allons voir un peu plus en détail ce qu’elle a réalisé.
La princesse Maria Dolores Franzyska Kolowrat-Krakowská
La princesse Maria Dolores Franzyska Kolowrat-Krakowská est née le 24 août 1858 à Bratislava, en Slovaquie. Elle est la fille du prince Frantisek Kolowrat et de la princesse Maria Désirée de Saxe-Cobourg. En 1879, elle épouse son cousin germain le prince Joseph Ier Kolowrat (1856–1928) et devient dès lors princesse héritière de Teschen. Maria Dolores Franziska est décédée le 3 octobre 1932 à Prague.
L’héritière du comté de Krakau
Les femmes de la noblesse sont souvent vues comme des personnes sans intérêt, qui ne font que passer dans l’histoire. Et pourtant, elles ont un rôle important à jouer dans la société.
Leur influence est bien réelle et a toujours existé.
Les femmes de la noblesse du XVIIe siècle étaient loin d’être figées. Elles pouvaient être actives en politique et avoir un poste au sein de l’Église catholique ou encore exercer une profession lucrative tout en restant proches de leurs parents ou de leurs amis.
L’héritière du comté de Krakau était une femme active à cette époque. Elle fut également très influente sur son temps grâce à sa position sociale et son statut d’aristocrate.
- Elle fut nommée présidente du conseil par les Habsbourg, ce qui lui confiait des responsabilités importantes.
- Elle possédait également des terres et des biens fonciers.
- Elle dirigea plusieurs entreprises commerciales.
- Cependant, elle devint rapidement inactive, car elle décéda alors qu’elle n’avait que 26 ans.
La fondatrice de l’École Centrale des Arts et Manufactures
L’École Centrale des Arts et Manufactures est une école d’ingénieurs dont la création remonte à 1794. Cette école est le fruit de l’association de plusieurs grandes familles du monde industriel, qui ont voulu permettre aux classes les plus modestes d’accéder à des études supérieures. Elle a pour vocation de former les futurs ingénieurs, managers et dirigeants, capables d’innover et de développer des projets technologiques.
L’École Centrale des Arts et Manufactures propose un programme en 5 ans, accessible sur concours après le baccalauréat.
La formation dispensée s’appuie sur une pédagogie par projet : chaque année est organisée autour d’un projet qui permet aux étudiants de mettre en pratique les connaissances acquises au cours de l’année.
Les programmes proposés sont principalement centrés sur les sciences de l’ingénierie (mécanique, électronique…) mais aussi sur toutes les disciplines nécessaires à la bonne gestion d’une entreprise (gestion financière, marketing…).
Les diplômés issus de cette école peuvent postuler aux recrutements externes ou internes et occuper des postes stratégiques au sein des entreprises quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité.
La mécène des artistes et des artisans
La mécène des artistes et des artisans est une femme qui a pour objectif de faire connaître, de soutenir et de promouvoir les artistes et les artisans. Elle peut être une personne physique ou morale.
Il ne faut pas confondre la mécène avec l’entrepreneuse.
La mécène finance les activités d’un artisan ou d’un artiste au travers d’une fondation qu’elle crée en leur honneur, cet honneur étant accordé selon la valeur qu’il prête aux œuvres qu’ils produisent.
La fondation permet à la mécène de bénéficier d’avantages fiscaux non négligeables. Elle peut également offrir un hommage aux meilleurs travailleurs, comme par exemple un prix annuel décerné par une institution publique ou privée. En générale, il existe trois formes de fondations :
- Les fondations privées
- Les fondations publiques
La protectrice des ouvriers et des travailleurs
La loi du 5 mars 2014 relative à la prévention des risques liés au travail a été publiée au Moniteur belge le 6 mars 2014. Celle-ci instaure une nouvelle législation en matière de bien-être sur les lieux de travail, qui se traduit notamment par la création d’une nouvelle fonction : celle de protectrice des travailleurs. Elle est chargée d’assister et de conseiller les travailleurs et leurs délégués, ainsi que les membres du comité pour la prévention et la protection au travail (CPPT) concernant toute question relative aux aspects généraux du bien-être sur les lieux de travail. Pour ce faire, elle peut être consultée par toutes les parties prenantes des lieux de travail, notamment par l’employeur ou le CPPT à propos des questions relatives aux aspects généraux du bien-être sur les lieux de travail. Elle peut également être consultée par l’inspection sociale ou un agent compétent.
L’émancipatrice des femmes
Ces dernières années, le thème de l’émancipation féminine a été largement abordé. Plusieurs femmes ont pris la parole pour dénoncer les inégalités et les discriminations qu’elles subissent encore aujourd’hui.
Les femmes sont souvent victimes de stéréotypes qui les empêchent d’accéder à des postes importants, par exemple en politique ou dans le monde du travail. De plus, un grand nombre de mouvements sociaux ont éclaté en France et à travers le monde cette dernière décennie pour que les femmes puissent avoir accès aux droits fondamentaux : droit au logement, droit à l’emploi, etc. Par conséquent, il est important de se battre pour que toutes les femmes puissent vivre une vie meilleure et épanouie. Ces revendications portaient notamment sur l’accès au travail des femmes qui souhaitaient obtenir un salaire égal à celui des hommes (ce qui est loin d’être acquis), la fin des violences conjugales, l’accès aux soins gynécologiques gratuits et sans condition de revenus ou encore la fin du sexisme sur Internet. Ces différents combats ne sont pas toujours perçus comme étant importants par une majorité de personnes. Pourtant, ils sont primordiaux si nous souhaitons réellement changer nos modes de vies pour aller vers une société plus juste et équitable.
La championne de l’éducation pour tous
Le monde de l’éducation est un secteur qui est à la croisée des chemins.
Il y a une forte demande pour les enseignants et une offre insuffisante. Cependant, cette situation n’est pas irrémédiable.
L’Afrique doit faire face à une problématique majeure : le manque d’enseignants qualifiés.
Le taux de scolarisation global est passé de 74 % en 2000 à 88 % en 2015, ce qui signifie que l’Afrique rattrape son retard par rapport aux pays développés sur ce plan. Pour atteindre cet objectif, il convient d’améliorer la qualité de l’enseignement dispensé au sein des établissements scolaires africains et de mettre en place des programmes de formation adaptés aux besoins des pays africains. En effet, le système éducatif actuel ne permet pas aux enfants d’apprendre correctement ou dans les délais impartis.
Il faut donc mettre plus d’accent sur la qualité que sur la quantité, car il s’agit du facteur essentiel pour obtenir un bon résultat scolaire et professionnel.
La philanthropie de Marie Dolores Franzyska Kolowrat-Krakowská
La philantropie est un don de soi pour les autres, qui s’exprime par des actes concrets de solidarité. Marie Dolores Franzyska Kolowrat-Krakowská, une femme célèbre et influente dans le domaine de la philanthropie a réussi à bâtir sa fortune grâce à son engagement envers la cause humaine. Marie Dolores Franzyska Kolowrat-Krakowská est née en 1885 à Prague, lorsque sa mère décide de quitter son mari et ses six enfants pour aller vivre dans une maison située au sud du pays. Bien que ce choix puisse paraître étonnant, il était le fruit d’une situation financière difficile. Toutefois, cette expérience a été extrêmement enrichissante pour la jeune fille qui a alors compris que l’amour pouvait être plus fort que tout. Cette femme de caractère a rapidement compris qu’il fallait mettre les finances au service des autres plutôt que l’inverse. Devenu veuve à seulement 29 ans, elle ne souhaitait pas vivre seule et cherchait un homme qui partageait ses convictions humanistes.
Lorsqu’elle rencontra Robert Kolowrat-Krakowski en 1908, elle tomba immédiatement amoureuse du jeune homme dont le nom avait une consonance très britannique.
Le couple se maria après trois années d’attente et eurent trois filles : Margot (1910), Magdalena (1912) et Eva (1914). En 1930, Marie Dolores Franzyska Kolowrat-Krakowská fit un legs important afin de construire un orphelinat près de Prague auquel fut également associée la fondation Maria Magdalena Kolowrat-Krakowská pour venir en aide aux femmes victimes de violences conj
Cet article est une réflexion sur la poésie de Maria Dolores Franziska Kolowrat-Krakowska. Il s’agit d’une poétesse slovaque née en 1873 et morte en 1930, connue pour son recueil de poèmes « Le chant des amants » qui a été traduit en français par les soins de l’éditeur Jules Rouff. Cette œuvre est un chef d’œuvre de la littérature romantique et symboliste.