Son ex-patron l’aurait mise à la porte parce qu’il était très proche de Nicolas Sarkozy – et qu’elle était alors la compagne de François Hollande. Nous vous expliquons tout !
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Valérie Trierweiler ne devrait pas porter Nicolas Sarkozy dans son cœur. En effet, si elle quitte son poste à la rédaction de Paris-Match, c’est un peu à cause de lui. En revanche, elle n’a rien à redire contre la première dame qui la précède : Carla Bruni-Sarkozy.
« Nous avons des positions politiques différentes, mais nous nous comprenons parce que nous avons vécu quelque chose de commun. »
Dans son livre Nous nous faisons savoirLa journaliste et ancienne compagne de François Hollande a déclaré que les deux femmes n’étaient « ni ennemies ni amies ». « Nous avons une sorte de complicité, je dirais même de connivence, même si nous sommes très différentes. Nous avons des positions politiques différentes, mais nous nous comprenons parce que nous avons vécu quelque chose de commun. » Dans une interview avec Sonia Mabrouk, elle a raconté.
Et elle précisa « Je ne sais pas quelles sont les positions politiques de Carla Bruni, mais nous savons qui est son mari. Nous avons eu l’occasion de parler un peu, elle partage plutôt les opinions de son mari, mais pas sur tous les points »., ajoute-t-elle. Elle note également que« entre femmes, les choses étaient plus simples, il n’y avait pas de questions de pouvoir. C’était très différent ».
Dans le viseur de Valérie Trierweiler : Nicolas Sarkozy
« On a parlé un peu d’intendance et juste après de choses plus intimes. Cela a fait passer la relation à un autre niveau. (….) Elle et moi n’avions aucune raison de nous battre, au contraire, nous nous soutenions mutuellement. » (1962), conclut Valérie Trierweiler.
Mais Valérie Trierweiler a tout de même dû se battre contre l’ami de son mari. Car Nicolas Sarkozy est très proche de Trierer.Arnaud Lagardère, alors propriétaire du groupe Lagardère Media News. Le 25 avril, le Conseil des Prud’hommes lui a donné raison. Le tribunal des prud’hommes a condamné le groupe à verser à l’ancienne Premier ministre une indemnité non négligeable.
Le groupe de médias doit désormais verser 120.000 euros à son ancienne employée à titre de dommages et intérêts pour son licenciement abusif, « sans cause réelle et sérieuse », en août 2020. S’y ajoutent 10.000 euros pour manque de formation, 6.000 euros pour conditions vexatoires de rupture du contrat de travail et 5.000 euros pour compenser les frais de procédure occasionnés par le procès. Au total, l’ancienne compagne de François Hollande empochera donc 141.000 euros.
L’ancienne journaliste de Paris-Match encaisse un joli chèque !
À l’époque Paris Match la licencie au motif qu’elle « l’inadéquation et l’insuffisance qualitative des propositions d’articles soumises à la direction de la rédaction »., Les Prud’hommes ont cependant constaté que « l’employeur, qui estime désormais que ces articles sont insuffisants, les a néanmoins publiés sans faire la moindre remarque ». Sur cette base, l’ancienne première dame obtient donc gain de cause.
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Nicolas Sarkozy considère en effet François Hollande comme son ennemi juré. L’ancien président aurait donc fait en sorte, en coulisses, que son amie Valérie Trierweiler perde son emploi. Elle travaillait comme journaliste depuis 1989. « Si les Malentendu entre les deux anciens présidents de la République est de notoriété publique, la requérante se limite en l’espèce à affirmer que cette mésentente a conduit à ce que M. Sarkozy soit à l’origine de son licenciement, cinq ans après sa séparation d’avec M. Hollande et trois ans après que ce dernier a quitté ses fonctions »., conclut en effet le rapport des Prud’hommes révélé par nos confrères de Mediapart. « Aucune preuve n’est apportée par la plaignante de l’existence de telles manœuvres »., continue d’être découverte. Valérie Trierweiler a bien fait de monter aux barricades pour défendre ses droits, bravo !
